Esprit
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Préface
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Préface
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Préface
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Préface
tome I, page XXII
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Préface
tome I, page XXIV
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Préface
tome I, page XXX (note)
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Préface
tome I, page XXXI
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE LES ARTS ET LES SCIENCES. DIALOGUES. DE LA PRÉVENTION en faveur des Anciens. PREMIER DIALOGUE.
tome I, page 2
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tome I, page 4
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE LES ARTS ET LES SCIENCES. DIALOGUES. DE LA PRÉVENTION en faveur des Anciens. PREMIER DIALOGUE.
tome I, page 4
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE LES ARTS ET LES SCIENCES. DIALOGUES. DE LA PRÉVENTION en faveur des Anciens. PREMIER DIALOGUE.
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tome I, page 8
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tome I, page 13
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tome I, page 50 (note)
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tome I, page 55
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tome I, page 65 (note)
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tome I, page 65
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tome I, page 67
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tome I, page 67 (note)
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tome I, page 67
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tome I, page 77
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tome I, page 78
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tome I, page 87 (note)
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tome I, page 88 (note)
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tome I, page 89
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tome I, page 91 (note)
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tome I, page 92 (note)
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tome I, page 98 (note)
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tome I, page 100
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE LES ARTS ET LES SCIENCES. DIALOGUES. DE LA PRÉVENTION en faveur des Anciens. PREMIER DIALOGUE.
tome I, page 100
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE LES ARTS ET LES SCIENCES. DIALOGUES. DE LA PRÉVENTION en faveur des Anciens. PREMIER DIALOGUE.
tome I, page 101
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ARCHITECTURE, LA SCULPTURE ET LA PEINTURE. SECOND DIALOGUE
tome I, page 109
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ARCHITECTURE, LA SCULPTURE ET LA PEINTURE. SECOND DIALOGUE
tome I, page 109
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ARCHITECTURE, LA SCULPTURE ET LA PEINTURE. SECOND DIALOGUE
tome I, page 135 (note)
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ARCHITECTURE, LA SCULPTURE ET LA PEINTURE. SECOND DIALOGUE
tome I, page 168 (note)
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ARCHITECTURE, LA SCULPTURE ET LA PEINTURE. SECOND DIALOGUE
tome I, page 171 (note)
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ARCHITECTURE, LA SCULPTURE ET LA PEINTURE. SECOND DIALOGUE
tome I, page 172 (note)
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ARCHITECTURE, LA SCULPTURE ET LA PEINTURE. SECOND DIALOGUE
tome I, page 183
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ARCHITECTURE, LA SCULPTURE ET LA PEINTURE. SECOND DIALOGUE
tome I, page 188
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ARCHITECTURE, LA SCULPTURE ET LA PEINTURE. SECOND DIALOGUE
tome I, page 206 (note)
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ARCHITECTURE, LA SCULPTURE ET LA PEINTURE. SECOND DIALOGUE
tome I, page 238 (note)
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ARCHITECTURE, LA SCULPTURE ET LA PEINTURE. SECOND DIALOGUE
tome I, page 239
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ARCHITECTURE, LA SCULPTURE ET LA PEINTURE. SECOND DIALOGUE
tome I, page 240
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ARCHITECTURE, LA SCULPTURE ET LA PEINTURE. SECOND DIALOGUE
tome I, page 241
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ARCHITECTURE, LA SCULPTURE ET LA PEINTURE. SECOND DIALOGUE
tome I, page 250
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LE SIÈCLE DE LOUIS LE GRAND POÈME
tome I, page 1 (note)
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LE SIÈCLE DE LOUIS LE GRAND POÈME
tome I, page 2 (note)
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LE SIÈCLE DE LOUIS LE GRAND POÈME
tome I, page 6 (note)
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LE SIÈCLE DE LOUIS LE GRAND POÈME
tome I, page 8
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LE SIÈCLE DE LOUIS LE GRAND POÈME
tome I, page 8
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LE SIÈCLE DE LOUIS LE GRAND POÈME
tome I, page 10
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LE SIÈCLE DE LOUIS LE GRAND POÈME
tome I, page 18
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LE SIÈCLE DE LOUIS LE GRAND POÈME
tome I, page 19
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LE SIÈCLE DE LOUIS LE GRAND POÈME
tome I, page 20 (note)
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LE SIÈCLE DE LOUIS LE GRAND POÈME
tome I, page 21
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LE GÉNIE. ÉPISTRE À MONSIEUR DE FONTENELLE
tome I, page 27 (note)
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LE GÉNIE. ÉPISTRE À MONSIEUR DE FONTENELLE
tome I, page 28 (note)
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LE GÉNIE. ÉPISTRE À MONSIEUR DE FONTENELLE
tome I, page 28
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LE GÉNIE. ÉPISTRE À MONSIEUR DE FONTENELLE
tome I, page 29 (note)
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LE GÉNIE. ÉPISTRE À MONSIEUR DE FONTENELLE
tome I, page 29 (note)
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LE GÉNIE. ÉPISTRE À MONSIEUR DE FONTENELLE
tome I, page 31
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LE GÉNIE. ÉPISTRE À MONSIEUR DE FONTENELLE
tome I, page 31 (note)
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LE GÉNIE. ÉPISTRE À MONSIEUR DE FONTENELLE
tome I, page 32 (note)
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LE GÉNIE. ÉPISTRE À MONSIEUR DE FONTENELLE
tome I, page 32 (note)
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LE GÉNIE. ÉPISTRE À MONSIEUR DE FONTENELLE
tome I, page 32
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LE GÉNIE. ÉPISTRE À MONSIEUR DE FONTENELLE
tome I, page 33
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Préface
tome II, page III
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Préface
tome II, page V
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Préface
tome II, page VIII
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Préface
tome II, page VIII
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Préface
tome II, page IX
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Préface
tome II, page X
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 13
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 13
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 14
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 14
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 23
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 23
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 24
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 27
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 28
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 34
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 44
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 46
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 47
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 54
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 67
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 69
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 74
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 75
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 78
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 78
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 82
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 84
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 88
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 90
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 108
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 111
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 113
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 129
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 140
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 142
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 142
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 146 (note)
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 154
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 189
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 200
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 201
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 204
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 210
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 228
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 229
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 231
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 238
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 240
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 243
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 245
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 246
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 248
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 248
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 258
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 270
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 278
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 280
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 280
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 285
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 300
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES EN CE QUI REGARDE L’ÉLOQUENCE SECONDE PARTIE. TROISIÈME DIALOGUE
tome II, page 300
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ORAISON FUNÈBRE prononcée par Périclès et rapportée par Thucydide, dans le second Livre de son Histoire, traduite par Monsieur Perrot d'AblancourtVoir la note 2 de l'avertissement de Perrault. Le texte se trouve à la p. 85 sq. de l’édition citée ; [DR/NS]
tome II, page 308
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ORAISON FUNÈBRE prononcée par Périclès et rapportée par Thucydide, dans le second Livre de son Histoire, traduite par Monsieur Perrot d'AblancourtVoir la note 2 de l'avertissement de Perrault. Le texte se trouve à la p. 85 sq. de l’édition citée ; [DR/NS]
tome II, page 310
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ORAISON FUNÈBRE d’Évagoras par Isocrate
tome II, page 322
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ORAISON FUNÈBRE DE MONSIEUR DE TURENNE. Par M. Fléchier, Évêque de Nîmes, alors Abbé de Saint-Séverin
tome II, page 330
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ORAISON FUNÈBRE DE MONSIEUR DE TURENNE. Par M. Fléchier, Évêque de Nîmes, alors Abbé de Saint-Séverin
tome II, page 331
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ORAISON FUNÈBRE DE MONSIEUR DE TURENNE. Par M. Fléchier, Évêque de Nîmes, alors Abbé de Saint-Séverin
tome II, page 332
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ORAISON FUNÈBRE DE MONSIEUR DE TURENNE. Par M. Fléchier, Évêque de Nîmes, alors Abbé de Saint-Séverin
tome II, page 335
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ORAISON FUNÈBRE prononcée par Lysias
tome II, page 337
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ORAISON FUNÈBRE DE MONSIEUR LE PRINCE DE CONDÉ Louis II de Bourbon, duc d’Enghien, prince de Condé. [NS], par le p. Bourdaloue
tome II, page 346
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ORAISON FUNÈBRE DE MONSIEUR LE PRINCE DE CONDÉ Louis II de Bourbon, duc d’Enghien, prince de Condé. [NS], par le p. Bourdaloue
tome II, page 347
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PANÉGYRIQUE DE TRAJAN, PAR PLINE II traduit par M. l’Abbé Esprit
tome II, page 355
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PANÉGYRIQUE DE TRAJAN, PAR PLINE II traduit par M. l’Abbé Esprit
tome II, page 357
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EXTRAIT D’UNE LETTRE DE M. DE VOITURE, OÙ IL FAIT L’ÉLOGE DE MONSIEUR LE CARDINAL DE RICHELIEU
tome II, page 361
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EXTRAIT D’UNE LETTRE DE M. DE VOITURE, OÙ IL FAIT L’ÉLOGE DE MONSIEUR LE CARDINAL DE RICHELIEU
tome II, page 362
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EXTRAIT D’UNE LETTRE DE M. DE VOITURE, OÙ IL FAIT L’ÉLOGE DE MONSIEUR LE CARDINAL DE RICHELIEU
tome II, page 367
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EXTRAIT D’UNE LETTRE DE M. DE VOITURE, OÙ IL FAIT L’ÉLOGE DE MONSIEUR LE CARDINAL DE RICHELIEU
tome II, page 367
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LETTRE DE M. DE BALZAC, À MONSIEUR DE LA MOTTE AIGRON. Où il décrit sa Maison de campagne
tome II, page 385
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LETTRE DE M. DE BALZAC, À MONSIEUR DE LA MOTTE AIGRON. Où il décrit sa Maison de campagne
tome II, page 385
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ÉPÎTRE DE CICÉRON À LUCCEIUSAnnotation en cours.
tome II, page 388
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ÉPÎTRE DE CICÉRON À LUCCEIUSAnnotation en cours.
tome II, page 391
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ÉPÎTRE DE CICÉRON À LUCCEIUSAnnotation en cours.
tome II, page 391
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ÉPÎTRE DE CICÉRON À LUCCEIUSAnnotation en cours.
tome II, page 393
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LETTRE DE M. DE BALZAC AU CARDINAL DE RICHELIEU Cette lettre se trouve dans le recueil des Lettres de 1624, éd. cit., lettre XLI, p. 177. Comme pour la précédente lettre de Balzac citée (à La Motte Aigron), c’est la version paraissant à partir de 1627, reprise dans l’édition des Œuvres in-folio de Balzac parue en 1665, que retient Perrault. Dans ce texte daté du 10 mars 1624, Balzac remercie Richelieu pour la lettre qu’il lui a envoyée : celle-ci, datée du 4 février 1624, est produite immédiatement avant la réponse de Balzac dans toutes les éditions. Richelieu y complimente Balzac pour ses lettres. [MB]
tome II, page 397
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LETTRE DE M. DE BALZAC AU CARDINAL DE RICHELIEU Cette lettre se trouve dans le recueil des Lettres de 1624, éd. cit., lettre XLI, p. 177. Comme pour la précédente lettre de Balzac citée (à La Motte Aigron), c’est la version paraissant à partir de 1627, reprise dans l’édition des Œuvres in-folio de Balzac parue en 1665, que retient Perrault. Dans ce texte daté du 10 mars 1624, Balzac remercie Richelieu pour la lettre qu’il lui a envoyée : celle-ci, datée du 4 février 1624, est produite immédiatement avant la réponse de Balzac dans toutes les éditions. Richelieu y complimente Balzac pour ses lettres. [MB]
tome II, page 398
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 18
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 18
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 19
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 19
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 19
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 19
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 19 (note)
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 20
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 23
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 23
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 24
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 24
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 32
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 32 (note)
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 44
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
tome III, page 46
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
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Parallèle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde la poésie.Quatrième dialogue
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LETTRE À M. MÉNAGEAnnotation en cours.
tome III, page 329
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LETTRE À M. MÉNAGEAnnotation en cours.
tome III, page 331
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LETTRE À M. MÉNAGEAnnotation en cours.
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES OÙ IL EST TRAITÉ DE L'ASTRONOMIE, de la Géographie, de la Navigation, de la Guerre, de la Philosophie, de la Médecine, de la Musique, etc. Cinquième et dernier Dialogue.
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tome IV, page 124 (note)
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES OÙ IL EST TRAITÉ DE L'ASTRONOMIE, de la Géographie, de la Navigation, de la Guerre, de la Philosophie, de la Médecine, de la Musique, etc. Cinquième et dernier Dialogue.
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES OÙ IL EST TRAITÉ DE L'ASTRONOMIE, de la Géographie, de la Navigation, de la Guerre, de la Philosophie, de la Médecine, de la Musique, etc. Cinquième et dernier Dialogue.
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PARALLÈLE DES ANCIENS ET DES MODERNES OÙ IL EST TRAITÉ DE L'ASTRONOMIE, de la Géographie, de la Navigation, de la Guerre, de la Philosophie, de la Médecine, de la Musique, etc. Cinquième et dernier Dialogue.
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SENTIMENT D'UN DOCTEUR de SorbonneL’auteur de cette annexe est sans doute Nicolas Perrault (1624-1661), un des frères de Charles, reçu docteur de la Sorbonne en théologie le 26 septembre 1653. Il se forme sous la direction de Jacques de Sainte-Beuve aux idées augustiniennes. Dans les Mémoires de ma vie, Charles parle de Nicolas en le qualifiant « Mon frère le docteur » Ch. Perrault, Mémoires de ma vie, Œuvres choisies, Paris, Brissot-Thivars et C°, 1826, xv. Après la publication des deux lettres d’Antoine Arnauld (1655), la Faculté de théologie de la Sorbonne prononce une motion de censure ; parmi d’autres, Nicolas Perrault prend sa défense de façon remarquée dans les débats sur la grâce ; il est exclu de son rang de docteur de la Sorbonne en 1656 à cause de ses positions en faveur d’Antoine Arnauld. Charles Perrault soutient la position de son frère, qui continue à renforcer alors ses liens avec Port-Royal. Sans doute faut-il comprendre la conjonction de l’anonymat et de la mention de Professeur de la Sorbonne dans ce contexte : officiellement, Nicolas Perrault a perdu son titre de docteur, mais Charles considère cette exclusion illégitime. En effet, dans un ouvrage publié à titre posthume en 1669 contre la casuistique jésuite, Nicolas est présenté de façon anonyme comme un docteur de la Sorbonne : La Morale des Jésuites, extraite fidèlement de leurs livres, imprimez avec la permission et l’approbation des Supérieurs de leur Compagnie. Par un docteur de Sorbonne. À Mons, chez la Veuve Waudret, 1669. Au soir de sa vie, Nicolas Perrault déclarait : [Dieu] « m’a fait par sa grâce docteur de Sorbonne, et je me regarde en cette qualité comme une sentinelle posée pour empêcher qu’il ne [se] passe rien contre la vérité. Je n’ai que cela à faire, et je ferai beaucoup si je m’acquitte bien de cette commission. Dieu pourvoira à tout le reste. » Mémoires, ibid., xv. J. Lesaulnier, Nicolas Perrault, Théologien de Port Royal, Dix-septième siècle, 2014/3, 264, p. 417-427. [SC] sur la doctrine des principes de connaissance de DescartesLes « principes de la connaissance humaine » (De principiis cognitionies humanae) constituent la première partie des Principes de la philosophie parus en 1644, et traduit par l’abbé Picot en 1647. Descartes y établit qu’il y a deux principes (l’âme et Dieu) connus par évidence qui suffisent à fonder toutes les autres connaissances. Pour y parvenir, Descartes met en œuvre la méthode du doute, puis de l’évidence et de la déduction. Descartes avait déjà élaboré les prémisses de sa méthode dans le Discours de la méthode (1637) et dans les Méditations métaphysiques (1641). Mais il y procédait de façon analytique. Dans les Principes de la philosophie, Descartes suit l’ordre de la synthèse. [SC]
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SENTIMENT D'UN DOCTEUR de SorbonneL’auteur de cette annexe est sans doute Nicolas Perrault (1624-1661), un des frères de Charles, reçu docteur de la Sorbonne en théologie le 26 septembre 1653. Il se forme sous la direction de Jacques de Sainte-Beuve aux idées augustiniennes. Dans les Mémoires de ma vie, Charles parle de Nicolas en le qualifiant « Mon frère le docteur » Ch. Perrault, Mémoires de ma vie, Œuvres choisies, Paris, Brissot-Thivars et C°, 1826, xv. Après la publication des deux lettres d’Antoine Arnauld (1655), la Faculté de théologie de la Sorbonne prononce une motion de censure ; parmi d’autres, Nicolas Perrault prend sa défense de façon remarquée dans les débats sur la grâce ; il est exclu de son rang de docteur de la Sorbonne en 1656 à cause de ses positions en faveur d’Antoine Arnauld. Charles Perrault soutient la position de son frère, qui continue à renforcer alors ses liens avec Port-Royal. Sans doute faut-il comprendre la conjonction de l’anonymat et de la mention de Professeur de la Sorbonne dans ce contexte : officiellement, Nicolas Perrault a perdu son titre de docteur, mais Charles considère cette exclusion illégitime. En effet, dans un ouvrage publié à titre posthume en 1669 contre la casuistique jésuite, Nicolas est présenté de façon anonyme comme un docteur de la Sorbonne : La Morale des Jésuites, extraite fidèlement de leurs livres, imprimez avec la permission et l’approbation des Supérieurs de leur Compagnie. Par un docteur de Sorbonne. À Mons, chez la Veuve Waudret, 1669. Au soir de sa vie, Nicolas Perrault déclarait : [Dieu] « m’a fait par sa grâce docteur de Sorbonne, et je me regarde en cette qualité comme une sentinelle posée pour empêcher qu’il ne [se] passe rien contre la vérité. Je n’ai que cela à faire, et je ferai beaucoup si je m’acquitte bien de cette commission. Dieu pourvoira à tout le reste. » Mémoires, ibid., xv. J. Lesaulnier, Nicolas Perrault, Théologien de Port Royal, Dix-septième siècle, 2014/3, 264, p. 417-427. [SC] sur la doctrine des principes de connaissance de DescartesLes « principes de la connaissance humaine » (De principiis cognitionies humanae) constituent la première partie des Principes de la philosophie parus en 1644, et traduit par l’abbé Picot en 1647. Descartes y établit qu’il y a deux principes (l’âme et Dieu) connus par évidence qui suffisent à fonder toutes les autres connaissances. Pour y parvenir, Descartes met en œuvre la méthode du doute, puis de l’évidence et de la déduction. Descartes avait déjà élaboré les prémisses de sa méthode dans le Discours de la méthode (1637) et dans les Méditations métaphysiques (1641). Mais il y procédait de façon analytique. Dans les Principes de la philosophie, Descartes suit l’ordre de la synthèse. [SC]
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SENTIMENT D'UN DOCTEUR de SorbonneL’auteur de cette annexe est sans doute Nicolas Perrault (1624-1661), un des frères de Charles, reçu docteur de la Sorbonne en théologie le 26 septembre 1653. Il se forme sous la direction de Jacques de Sainte-Beuve aux idées augustiniennes. Dans les Mémoires de ma vie, Charles parle de Nicolas en le qualifiant « Mon frère le docteur » Ch. Perrault, Mémoires de ma vie, Œuvres choisies, Paris, Brissot-Thivars et C°, 1826, xv. Après la publication des deux lettres d’Antoine Arnauld (1655), la Faculté de théologie de la Sorbonne prononce une motion de censure ; parmi d’autres, Nicolas Perrault prend sa défense de façon remarquée dans les débats sur la grâce ; il est exclu de son rang de docteur de la Sorbonne en 1656 à cause de ses positions en faveur d’Antoine Arnauld. Charles Perrault soutient la position de son frère, qui continue à renforcer alors ses liens avec Port-Royal. Sans doute faut-il comprendre la conjonction de l’anonymat et de la mention de Professeur de la Sorbonne dans ce contexte : officiellement, Nicolas Perrault a perdu son titre de docteur, mais Charles considère cette exclusion illégitime. En effet, dans un ouvrage publié à titre posthume en 1669 contre la casuistique jésuite, Nicolas est présenté de façon anonyme comme un docteur de la Sorbonne : La Morale des Jésuites, extraite fidèlement de leurs livres, imprimez avec la permission et l’approbation des Supérieurs de leur Compagnie. Par un docteur de Sorbonne. À Mons, chez la Veuve Waudret, 1669. Au soir de sa vie, Nicolas Perrault déclarait : [Dieu] « m’a fait par sa grâce docteur de Sorbonne, et je me regarde en cette qualité comme une sentinelle posée pour empêcher qu’il ne [se] passe rien contre la vérité. Je n’ai que cela à faire, et je ferai beaucoup si je m’acquitte bien de cette commission. Dieu pourvoira à tout le reste. » Mémoires, ibid., xv. J. Lesaulnier, Nicolas Perrault, Théologien de Port Royal, Dix-septième siècle, 2014/3, 264, p. 417-427. [SC] sur la doctrine des principes de connaissance de DescartesLes « principes de la connaissance humaine » (De principiis cognitionies humanae) constituent la première partie des Principes de la philosophie parus en 1644, et traduit par l’abbé Picot en 1647. Descartes y établit qu’il y a deux principes (l’âme et Dieu) connus par évidence qui suffisent à fonder toutes les autres connaissances. Pour y parvenir, Descartes met en œuvre la méthode du doute, puis de l’évidence et de la déduction. Descartes avait déjà élaboré les prémisses de sa méthode dans le Discours de la méthode (1637) et dans les Méditations métaphysiques (1641). Mais il y procédait de façon analytique. Dans les Principes de la philosophie, Descartes suit l’ordre de la synthèse. [SC]
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SENTIMENT D'UN DOCTEUR de SorbonneL’auteur de cette annexe est sans doute Nicolas Perrault (1624-1661), un des frères de Charles, reçu docteur de la Sorbonne en théologie le 26 septembre 1653. Il se forme sous la direction de Jacques de Sainte-Beuve aux idées augustiniennes. Dans les Mémoires de ma vie, Charles parle de Nicolas en le qualifiant « Mon frère le docteur » Ch. Perrault, Mémoires de ma vie, Œuvres choisies, Paris, Brissot-Thivars et C°, 1826, xv. Après la publication des deux lettres d’Antoine Arnauld (1655), la Faculté de théologie de la Sorbonne prononce une motion de censure ; parmi d’autres, Nicolas Perrault prend sa défense de façon remarquée dans les débats sur la grâce ; il est exclu de son rang de docteur de la Sorbonne en 1656 à cause de ses positions en faveur d’Antoine Arnauld. Charles Perrault soutient la position de son frère, qui continue à renforcer alors ses liens avec Port-Royal. Sans doute faut-il comprendre la conjonction de l’anonymat et de la mention de Professeur de la Sorbonne dans ce contexte : officiellement, Nicolas Perrault a perdu son titre de docteur, mais Charles considère cette exclusion illégitime. En effet, dans un ouvrage publié à titre posthume en 1669 contre la casuistique jésuite, Nicolas est présenté de façon anonyme comme un docteur de la Sorbonne : La Morale des Jésuites, extraite fidèlement de leurs livres, imprimez avec la permission et l’approbation des Supérieurs de leur Compagnie. Par un docteur de Sorbonne. À Mons, chez la Veuve Waudret, 1669. Au soir de sa vie, Nicolas Perrault déclarait : [Dieu] « m’a fait par sa grâce docteur de Sorbonne, et je me regarde en cette qualité comme une sentinelle posée pour empêcher qu’il ne [se] passe rien contre la vérité. Je n’ai que cela à faire, et je ferai beaucoup si je m’acquitte bien de cette commission. Dieu pourvoira à tout le reste. » Mémoires, ibid., xv. J. Lesaulnier, Nicolas Perrault, Théologien de Port Royal, Dix-septième siècle, 2014/3, 264, p. 417-427. [SC] sur la doctrine des principes de connaissance de DescartesLes « principes de la connaissance humaine » (De principiis cognitionies humanae) constituent la première partie des Principes de la philosophie parus en 1644, et traduit par l’abbé Picot en 1647. Descartes y établit qu’il y a deux principes (l’âme et Dieu) connus par évidence qui suffisent à fonder toutes les autres connaissances. Pour y parvenir, Descartes met en œuvre la méthode du doute, puis de l’évidence et de la déduction. Descartes avait déjà élaboré les prémisses de sa méthode dans le Discours de la méthode (1637) et dans les Méditations métaphysiques (1641). Mais il y procédait de façon analytique. Dans les Principes de la philosophie, Descartes suit l’ordre de la synthèse. [SC]
tome IV, page 298
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SENTIMENT D'UN DOCTEUR de SorbonneL’auteur de cette annexe est sans doute Nicolas Perrault (1624-1661), un des frères de Charles, reçu docteur de la Sorbonne en théologie le 26 septembre 1653. Il se forme sous la direction de Jacques de Sainte-Beuve aux idées augustiniennes. Dans les Mémoires de ma vie, Charles parle de Nicolas en le qualifiant « Mon frère le docteur » Ch. Perrault, Mémoires de ma vie, Œuvres choisies, Paris, Brissot-Thivars et C°, 1826, xv. Après la publication des deux lettres d’Antoine Arnauld (1655), la Faculté de théologie de la Sorbonne prononce une motion de censure ; parmi d’autres, Nicolas Perrault prend sa défense de façon remarquée dans les débats sur la grâce ; il est exclu de son rang de docteur de la Sorbonne en 1656 à cause de ses positions en faveur d’Antoine Arnauld. Charles Perrault soutient la position de son frère, qui continue à renforcer alors ses liens avec Port-Royal. Sans doute faut-il comprendre la conjonction de l’anonymat et de la mention de Professeur de la Sorbonne dans ce contexte : officiellement, Nicolas Perrault a perdu son titre de docteur, mais Charles considère cette exclusion illégitime. En effet, dans un ouvrage publié à titre posthume en 1669 contre la casuistique jésuite, Nicolas est présenté de façon anonyme comme un docteur de la Sorbonne : La Morale des Jésuites, extraite fidèlement de leurs livres, imprimez avec la permission et l’approbation des Supérieurs de leur Compagnie. Par un docteur de Sorbonne. À Mons, chez la Veuve Waudret, 1669. Au soir de sa vie, Nicolas Perrault déclarait : [Dieu] « m’a fait par sa grâce docteur de Sorbonne, et je me regarde en cette qualité comme une sentinelle posée pour empêcher qu’il ne [se] passe rien contre la vérité. Je n’ai que cela à faire, et je ferai beaucoup si je m’acquitte bien de cette commission. Dieu pourvoira à tout le reste. » Mémoires, ibid., xv. J. Lesaulnier, Nicolas Perrault, Théologien de Port Royal, Dix-septième siècle, 2014/3, 264, p. 417-427. [SC] sur la doctrine des principes de connaissance de DescartesLes « principes de la connaissance humaine » (De principiis cognitionies humanae) constituent la première partie des Principes de la philosophie parus en 1644, et traduit par l’abbé Picot en 1647. Descartes y établit qu’il y a deux principes (l’âme et Dieu) connus par évidence qui suffisent à fonder toutes les autres connaissances. Pour y parvenir, Descartes met en œuvre la méthode du doute, puis de l’évidence et de la déduction. Descartes avait déjà élaboré les prémisses de sa méthode dans le Discours de la méthode (1637) et dans les Méditations métaphysiques (1641). Mais il y procédait de façon analytique. Dans les Principes de la philosophie, Descartes suit l’ordre de la synthèse. [SC]
tome IV, page 298
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SENTIMENT D'UN DOCTEUR de SorbonneL’auteur de cette annexe est sans doute Nicolas Perrault (1624-1661), un des frères de Charles, reçu docteur de la Sorbonne en théologie le 26 septembre 1653. Il se forme sous la direction de Jacques de Sainte-Beuve aux idées augustiniennes. Dans les Mémoires de ma vie, Charles parle de Nicolas en le qualifiant « Mon frère le docteur » Ch. Perrault, Mémoires de ma vie, Œuvres choisies, Paris, Brissot-Thivars et C°, 1826, xv. Après la publication des deux lettres d’Antoine Arnauld (1655), la Faculté de théologie de la Sorbonne prononce une motion de censure ; parmi d’autres, Nicolas Perrault prend sa défense de façon remarquée dans les débats sur la grâce ; il est exclu de son rang de docteur de la Sorbonne en 1656 à cause de ses positions en faveur d’Antoine Arnauld. Charles Perrault soutient la position de son frère, qui continue à renforcer alors ses liens avec Port-Royal. Sans doute faut-il comprendre la conjonction de l’anonymat et de la mention de Professeur de la Sorbonne dans ce contexte : officiellement, Nicolas Perrault a perdu son titre de docteur, mais Charles considère cette exclusion illégitime. En effet, dans un ouvrage publié à titre posthume en 1669 contre la casuistique jésuite, Nicolas est présenté de façon anonyme comme un docteur de la Sorbonne : La Morale des Jésuites, extraite fidèlement de leurs livres, imprimez avec la permission et l’approbation des Supérieurs de leur Compagnie. Par un docteur de Sorbonne. À Mons, chez la Veuve Waudret, 1669. Au soir de sa vie, Nicolas Perrault déclarait : [Dieu] « m’a fait par sa grâce docteur de Sorbonne, et je me regarde en cette qualité comme une sentinelle posée pour empêcher qu’il ne [se] passe rien contre la vérité. Je n’ai que cela à faire, et je ferai beaucoup si je m’acquitte bien de cette commission. Dieu pourvoira à tout le reste. » Mémoires, ibid., xv. J. Lesaulnier, Nicolas Perrault, Théologien de Port Royal, Dix-septième siècle, 2014/3, 264, p. 417-427. [SC] sur la doctrine des principes de connaissance de DescartesLes « principes de la connaissance humaine » (De principiis cognitionies humanae) constituent la première partie des Principes de la philosophie parus en 1644, et traduit par l’abbé Picot en 1647. Descartes y établit qu’il y a deux principes (l’âme et Dieu) connus par évidence qui suffisent à fonder toutes les autres connaissances. Pour y parvenir, Descartes met en œuvre la méthode du doute, puis de l’évidence et de la déduction. Descartes avait déjà élaboré les prémisses de sa méthode dans le Discours de la méthode (1637) et dans les Méditations métaphysiques (1641). Mais il y procédait de façon analytique. Dans les Principes de la philosophie, Descartes suit l’ordre de la synthèse. [SC]
tome IV, page 299
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SENTIMENT D'UN DOCTEUR de SorbonneL’auteur de cette annexe est sans doute Nicolas Perrault (1624-1661), un des frères de Charles, reçu docteur de la Sorbonne en théologie le 26 septembre 1653. Il se forme sous la direction de Jacques de Sainte-Beuve aux idées augustiniennes. Dans les Mémoires de ma vie, Charles parle de Nicolas en le qualifiant « Mon frère le docteur » Ch. Perrault, Mémoires de ma vie, Œuvres choisies, Paris, Brissot-Thivars et C°, 1826, xv. Après la publication des deux lettres d’Antoine Arnauld (1655), la Faculté de théologie de la Sorbonne prononce une motion de censure ; parmi d’autres, Nicolas Perrault prend sa défense de façon remarquée dans les débats sur la grâce ; il est exclu de son rang de docteur de la Sorbonne en 1656 à cause de ses positions en faveur d’Antoine Arnauld. Charles Perrault soutient la position de son frère, qui continue à renforcer alors ses liens avec Port-Royal. Sans doute faut-il comprendre la conjonction de l’anonymat et de la mention de Professeur de la Sorbonne dans ce contexte : officiellement, Nicolas Perrault a perdu son titre de docteur, mais Charles considère cette exclusion illégitime. En effet, dans un ouvrage publié à titre posthume en 1669 contre la casuistique jésuite, Nicolas est présenté de façon anonyme comme un docteur de la Sorbonne : La Morale des Jésuites, extraite fidèlement de leurs livres, imprimez avec la permission et l’approbation des Supérieurs de leur Compagnie. Par un docteur de Sorbonne. À Mons, chez la Veuve Waudret, 1669. Au soir de sa vie, Nicolas Perrault déclarait : [Dieu] « m’a fait par sa grâce docteur de Sorbonne, et je me regarde en cette qualité comme une sentinelle posée pour empêcher qu’il ne [se] passe rien contre la vérité. Je n’ai que cela à faire, et je ferai beaucoup si je m’acquitte bien de cette commission. Dieu pourvoira à tout le reste. » Mémoires, ibid., xv. J. Lesaulnier, Nicolas Perrault, Théologien de Port Royal, Dix-septième siècle, 2014/3, 264, p. 417-427. [SC] sur la doctrine des principes de connaissance de DescartesLes « principes de la connaissance humaine » (De principiis cognitionies humanae) constituent la première partie des Principes de la philosophie parus en 1644, et traduit par l’abbé Picot en 1647. Descartes y établit qu’il y a deux principes (l’âme et Dieu) connus par évidence qui suffisent à fonder toutes les autres connaissances. Pour y parvenir, Descartes met en œuvre la méthode du doute, puis de l’évidence et de la déduction. Descartes avait déjà élaboré les prémisses de sa méthode dans le Discours de la méthode (1637) et dans les Méditations métaphysiques (1641). Mais il y procédait de façon analytique. Dans les Principes de la philosophie, Descartes suit l’ordre de la synthèse. [SC]
tome IV, page 299
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SENTIMENT D'UN DOCTEUR de SorbonneL’auteur de cette annexe est sans doute Nicolas Perrault (1624-1661), un des frères de Charles, reçu docteur de la Sorbonne en théologie le 26 septembre 1653. Il se forme sous la direction de Jacques de Sainte-Beuve aux idées augustiniennes. Dans les Mémoires de ma vie, Charles parle de Nicolas en le qualifiant « Mon frère le docteur » Ch. Perrault, Mémoires de ma vie, Œuvres choisies, Paris, Brissot-Thivars et C°, 1826, xv. Après la publication des deux lettres d’Antoine Arnauld (1655), la Faculté de théologie de la Sorbonne prononce une motion de censure ; parmi d’autres, Nicolas Perrault prend sa défense de façon remarquée dans les débats sur la grâce ; il est exclu de son rang de docteur de la Sorbonne en 1656 à cause de ses positions en faveur d’Antoine Arnauld. Charles Perrault soutient la position de son frère, qui continue à renforcer alors ses liens avec Port-Royal. Sans doute faut-il comprendre la conjonction de l’anonymat et de la mention de Professeur de la Sorbonne dans ce contexte : officiellement, Nicolas Perrault a perdu son titre de docteur, mais Charles considère cette exclusion illégitime. En effet, dans un ouvrage publié à titre posthume en 1669 contre la casuistique jésuite, Nicolas est présenté de façon anonyme comme un docteur de la Sorbonne : La Morale des Jésuites, extraite fidèlement de leurs livres, imprimez avec la permission et l’approbation des Supérieurs de leur Compagnie. Par un docteur de Sorbonne. À Mons, chez la Veuve Waudret, 1669. Au soir de sa vie, Nicolas Perrault déclarait : [Dieu] « m’a fait par sa grâce docteur de Sorbonne, et je me regarde en cette qualité comme une sentinelle posée pour empêcher qu’il ne [se] passe rien contre la vérité. Je n’ai que cela à faire, et je ferai beaucoup si je m’acquitte bien de cette commission. Dieu pourvoira à tout le reste. » Mémoires, ibid., xv. J. Lesaulnier, Nicolas Perrault, Théologien de Port Royal, Dix-septième siècle, 2014/3, 264, p. 417-427. [SC] sur la doctrine des principes de connaissance de DescartesLes « principes de la connaissance humaine » (De principiis cognitionies humanae) constituent la première partie des Principes de la philosophie parus en 1644, et traduit par l’abbé Picot en 1647. Descartes y établit qu’il y a deux principes (l’âme et Dieu) connus par évidence qui suffisent à fonder toutes les autres connaissances. Pour y parvenir, Descartes met en œuvre la méthode du doute, puis de l’évidence et de la déduction. Descartes avait déjà élaboré les prémisses de sa méthode dans le Discours de la méthode (1637) et dans les Méditations métaphysiques (1641). Mais il y procédait de façon analytique. Dans les Principes de la philosophie, Descartes suit l’ordre de la synthèse. [SC]
tome IV, page 299
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SENTIMENT D'UN DOCTEUR de SorbonneL’auteur de cette annexe est sans doute Nicolas Perrault (1624-1661), un des frères de Charles, reçu docteur de la Sorbonne en théologie le 26 septembre 1653. Il se forme sous la direction de Jacques de Sainte-Beuve aux idées augustiniennes. Dans les Mémoires de ma vie, Charles parle de Nicolas en le qualifiant « Mon frère le docteur » Ch. Perrault, Mémoires de ma vie, Œuvres choisies, Paris, Brissot-Thivars et C°, 1826, xv. Après la publication des deux lettres d’Antoine Arnauld (1655), la Faculté de théologie de la Sorbonne prononce une motion de censure ; parmi d’autres, Nicolas Perrault prend sa défense de façon remarquée dans les débats sur la grâce ; il est exclu de son rang de docteur de la Sorbonne en 1656 à cause de ses positions en faveur d’Antoine Arnauld. Charles Perrault soutient la position de son frère, qui continue à renforcer alors ses liens avec Port-Royal. Sans doute faut-il comprendre la conjonction de l’anonymat et de la mention de Professeur de la Sorbonne dans ce contexte : officiellement, Nicolas Perrault a perdu son titre de docteur, mais Charles considère cette exclusion illégitime. En effet, dans un ouvrage publié à titre posthume en 1669 contre la casuistique jésuite, Nicolas est présenté de façon anonyme comme un docteur de la Sorbonne : La Morale des Jésuites, extraite fidèlement de leurs livres, imprimez avec la permission et l’approbation des Supérieurs de leur Compagnie. Par un docteur de Sorbonne. À Mons, chez la Veuve Waudret, 1669. Au soir de sa vie, Nicolas Perrault déclarait : [Dieu] « m’a fait par sa grâce docteur de Sorbonne, et je me regarde en cette qualité comme une sentinelle posée pour empêcher qu’il ne [se] passe rien contre la vérité. Je n’ai que cela à faire, et je ferai beaucoup si je m’acquitte bien de cette commission. Dieu pourvoira à tout le reste. » Mémoires, ibid., xv. J. Lesaulnier, Nicolas Perrault, Théologien de Port Royal, Dix-septième siècle, 2014/3, 264, p. 417-427. [SC] sur la doctrine des principes de connaissance de DescartesLes « principes de la connaissance humaine » (De principiis cognitionies humanae) constituent la première partie des Principes de la philosophie parus en 1644, et traduit par l’abbé Picot en 1647. Descartes y établit qu’il y a deux principes (l’âme et Dieu) connus par évidence qui suffisent à fonder toutes les autres connaissances. Pour y parvenir, Descartes met en œuvre la méthode du doute, puis de l’évidence et de la déduction. Descartes avait déjà élaboré les prémisses de sa méthode dans le Discours de la méthode (1637) et dans les Méditations métaphysiques (1641). Mais il y procédait de façon analytique. Dans les Principes de la philosophie, Descartes suit l’ordre de la synthèse. [SC]
tome IV, page 299
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SENTIMENT D'UN DOCTEUR de SorbonneL’auteur de cette annexe est sans doute Nicolas Perrault (1624-1661), un des frères de Charles, reçu docteur de la Sorbonne en théologie le 26 septembre 1653. Il se forme sous la direction de Jacques de Sainte-Beuve aux idées augustiniennes. Dans les Mémoires de ma vie, Charles parle de Nicolas en le qualifiant « Mon frère le docteur » Ch. Perrault, Mémoires de ma vie, Œuvres choisies, Paris, Brissot-Thivars et C°, 1826, xv. Après la publication des deux lettres d’Antoine Arnauld (1655), la Faculté de théologie de la Sorbonne prononce une motion de censure ; parmi d’autres, Nicolas Perrault prend sa défense de façon remarquée dans les débats sur la grâce ; il est exclu de son rang de docteur de la Sorbonne en 1656 à cause de ses positions en faveur d’Antoine Arnauld. Charles Perrault soutient la position de son frère, qui continue à renforcer alors ses liens avec Port-Royal. Sans doute faut-il comprendre la conjonction de l’anonymat et de la mention de Professeur de la Sorbonne dans ce contexte : officiellement, Nicolas Perrault a perdu son titre de docteur, mais Charles considère cette exclusion illégitime. En effet, dans un ouvrage publié à titre posthume en 1669 contre la casuistique jésuite, Nicolas est présenté de façon anonyme comme un docteur de la Sorbonne : La Morale des Jésuites, extraite fidèlement de leurs livres, imprimez avec la permission et l’approbation des Supérieurs de leur Compagnie. Par un docteur de Sorbonne. À Mons, chez la Veuve Waudret, 1669. Au soir de sa vie, Nicolas Perrault déclarait : [Dieu] « m’a fait par sa grâce docteur de Sorbonne, et je me regarde en cette qualité comme une sentinelle posée pour empêcher qu’il ne [se] passe rien contre la vérité. Je n’ai que cela à faire, et je ferai beaucoup si je m’acquitte bien de cette commission. Dieu pourvoira à tout le reste. » Mémoires, ibid., xv. J. Lesaulnier, Nicolas Perrault, Théologien de Port Royal, Dix-septième siècle, 2014/3, 264, p. 417-427. [SC] sur la doctrine des principes de connaissance de DescartesLes « principes de la connaissance humaine » (De principiis cognitionies humanae) constituent la première partie des Principes de la philosophie parus en 1644, et traduit par l’abbé Picot en 1647. Descartes y établit qu’il y a deux principes (l’âme et Dieu) connus par évidence qui suffisent à fonder toutes les autres connaissances. Pour y parvenir, Descartes met en œuvre la méthode du doute, puis de l’évidence et de la déduction. Descartes avait déjà élaboré les prémisses de sa méthode dans le Discours de la méthode (1637) et dans les Méditations métaphysiques (1641). Mais il y procédait de façon analytique. Dans les Principes de la philosophie, Descartes suit l’ordre de la synthèse. [SC]
tome IV, page 300
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SENTIMENT D'UN DOCTEUR de SorbonneL’auteur de cette annexe est sans doute Nicolas Perrault (1624-1661), un des frères de Charles, reçu docteur de la Sorbonne en théologie le 26 septembre 1653. Il se forme sous la direction de Jacques de Sainte-Beuve aux idées augustiniennes. Dans les Mémoires de ma vie, Charles parle de Nicolas en le qualifiant « Mon frère le docteur » Ch. Perrault, Mémoires de ma vie, Œuvres choisies, Paris, Brissot-Thivars et C°, 1826, xv. Après la publication des deux lettres d’Antoine Arnauld (1655), la Faculté de théologie de la Sorbonne prononce une motion de censure ; parmi d’autres, Nicolas Perrault prend sa défense de façon remarquée dans les débats sur la grâce ; il est exclu de son rang de docteur de la Sorbonne en 1656 à cause de ses positions en faveur d’Antoine Arnauld. Charles Perrault soutient la position de son frère, qui continue à renforcer alors ses liens avec Port-Royal. Sans doute faut-il comprendre la conjonction de l’anonymat et de la mention de Professeur de la Sorbonne dans ce contexte : officiellement, Nicolas Perrault a perdu son titre de docteur, mais Charles considère cette exclusion illégitime. En effet, dans un ouvrage publié à titre posthume en 1669 contre la casuistique jésuite, Nicolas est présenté de façon anonyme comme un docteur de la Sorbonne : La Morale des Jésuites, extraite fidèlement de leurs livres, imprimez avec la permission et l’approbation des Supérieurs de leur Compagnie. Par un docteur de Sorbonne. À Mons, chez la Veuve Waudret, 1669. Au soir de sa vie, Nicolas Perrault déclarait : [Dieu] « m’a fait par sa grâce docteur de Sorbonne, et je me regarde en cette qualité comme une sentinelle posée pour empêcher qu’il ne [se] passe rien contre la vérité. Je n’ai que cela à faire, et je ferai beaucoup si je m’acquitte bien de cette commission. Dieu pourvoira à tout le reste. » Mémoires, ibid., xv. J. Lesaulnier, Nicolas Perrault, Théologien de Port Royal, Dix-septième siècle, 2014/3, 264, p. 417-427. [SC] sur la doctrine des principes de connaissance de DescartesLes « principes de la connaissance humaine » (De principiis cognitionies humanae) constituent la première partie des Principes de la philosophie parus en 1644, et traduit par l’abbé Picot en 1647. Descartes y établit qu’il y a deux principes (l’âme et Dieu) connus par évidence qui suffisent à fonder toutes les autres connaissances. Pour y parvenir, Descartes met en œuvre la méthode du doute, puis de l’évidence et de la déduction. Descartes avait déjà élaboré les prémisses de sa méthode dans le Discours de la méthode (1637) et dans les Méditations métaphysiques (1641). Mais il y procédait de façon analytique. Dans les Principes de la philosophie, Descartes suit l’ordre de la synthèse. [SC]
tome IV, page 301
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SENTIMENT D'UN DOCTEUR de SorbonneL’auteur de cette annexe est sans doute Nicolas Perrault (1624-1661), un des frères de Charles, reçu docteur de la Sorbonne en théologie le 26 septembre 1653. Il se forme sous la direction de Jacques de Sainte-Beuve aux idées augustiniennes. Dans les Mémoires de ma vie, Charles parle de Nicolas en le qualifiant « Mon frère le docteur » Ch. Perrault, Mémoires de ma vie, Œuvres choisies, Paris, Brissot-Thivars et C°, 1826, xv. Après la publication des deux lettres d’Antoine Arnauld (1655), la Faculté de théologie de la Sorbonne prononce une motion de censure ; parmi d’autres, Nicolas Perrault prend sa défense de façon remarquée dans les débats sur la grâce ; il est exclu de son rang de docteur de la Sorbonne en 1656 à cause de ses positions en faveur d’Antoine Arnauld. Charles Perrault soutient la position de son frère, qui continue à renforcer alors ses liens avec Port-Royal. Sans doute faut-il comprendre la conjonction de l’anonymat et de la mention de Professeur de la Sorbonne dans ce contexte : officiellement, Nicolas Perrault a perdu son titre de docteur, mais Charles considère cette exclusion illégitime. En effet, dans un ouvrage publié à titre posthume en 1669 contre la casuistique jésuite, Nicolas est présenté de façon anonyme comme un docteur de la Sorbonne : La Morale des Jésuites, extraite fidèlement de leurs livres, imprimez avec la permission et l’approbation des Supérieurs de leur Compagnie. Par un docteur de Sorbonne. À Mons, chez la Veuve Waudret, 1669. Au soir de sa vie, Nicolas Perrault déclarait : [Dieu] « m’a fait par sa grâce docteur de Sorbonne, et je me regarde en cette qualité comme une sentinelle posée pour empêcher qu’il ne [se] passe rien contre la vérité. Je n’ai que cela à faire, et je ferai beaucoup si je m’acquitte bien de cette commission. Dieu pourvoira à tout le reste. » Mémoires, ibid., xv. J. Lesaulnier, Nicolas Perrault, Théologien de Port Royal, Dix-septième siècle, 2014/3, 264, p. 417-427. [SC] sur la doctrine des principes de connaissance de DescartesLes « principes de la connaissance humaine » (De principiis cognitionies humanae) constituent la première partie des Principes de la philosophie parus en 1644, et traduit par l’abbé Picot en 1647. Descartes y établit qu’il y a deux principes (l’âme et Dieu) connus par évidence qui suffisent à fonder toutes les autres connaissances. Pour y parvenir, Descartes met en œuvre la méthode du doute, puis de l’évidence et de la déduction. Descartes avait déjà élaboré les prémisses de sa méthode dans le Discours de la méthode (1637) et dans les Méditations métaphysiques (1641). Mais il y procédait de façon analytique. Dans les Principes de la philosophie, Descartes suit l’ordre de la synthèse. [SC]
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SENTIMENT D'UN DOCTEUR de SorbonneL’auteur de cette annexe est sans doute Nicolas Perrault (1624-1661), un des frères de Charles, reçu docteur de la Sorbonne en théologie le 26 septembre 1653. Il se forme sous la direction de Jacques de Sainte-Beuve aux idées augustiniennes. Dans les Mémoires de ma vie, Charles parle de Nicolas en le qualifiant « Mon frère le docteur » Ch. Perrault, Mémoires de ma vie, Œuvres choisies, Paris, Brissot-Thivars et C°, 1826, xv. Après la publication des deux lettres d’Antoine Arnauld (1655), la Faculté de théologie de la Sorbonne prononce une motion de censure ; parmi d’autres, Nicolas Perrault prend sa défense de façon remarquée dans les débats sur la grâce ; il est exclu de son rang de docteur de la Sorbonne en 1656 à cause de ses positions en faveur d’Antoine Arnauld. Charles Perrault soutient la position de son frère, qui continue à renforcer alors ses liens avec Port-Royal. Sans doute faut-il comprendre la conjonction de l’anonymat et de la mention de Professeur de la Sorbonne dans ce contexte : officiellement, Nicolas Perrault a perdu son titre de docteur, mais Charles considère cette exclusion illégitime. En effet, dans un ouvrage publié à titre posthume en 1669 contre la casuistique jésuite, Nicolas est présenté de façon anonyme comme un docteur de la Sorbonne : La Morale des Jésuites, extraite fidèlement de leurs livres, imprimez avec la permission et l’approbation des Supérieurs de leur Compagnie. Par un docteur de Sorbonne. À Mons, chez la Veuve Waudret, 1669. Au soir de sa vie, Nicolas Perrault déclarait : [Dieu] « m’a fait par sa grâce docteur de Sorbonne, et je me regarde en cette qualité comme une sentinelle posée pour empêcher qu’il ne [se] passe rien contre la vérité. Je n’ai que cela à faire, et je ferai beaucoup si je m’acquitte bien de cette commission. Dieu pourvoira à tout le reste. » Mémoires, ibid., xv. J. Lesaulnier, Nicolas Perrault, Théologien de Port Royal, Dix-septième siècle, 2014/3, 264, p. 417-427. [SC] sur la doctrine des principes de connaissance de DescartesLes « principes de la connaissance humaine » (De principiis cognitionies humanae) constituent la première partie des Principes de la philosophie parus en 1644, et traduit par l’abbé Picot en 1647. Descartes y établit qu’il y a deux principes (l’âme et Dieu) connus par évidence qui suffisent à fonder toutes les autres connaissances. Pour y parvenir, Descartes met en œuvre la méthode du doute, puis de l’évidence et de la déduction. Descartes avait déjà élaboré les prémisses de sa méthode dans le Discours de la méthode (1637) et dans les Méditations métaphysiques (1641). Mais il y procédait de façon analytique. Dans les Principes de la philosophie, Descartes suit l’ordre de la synthèse. [SC]
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SENTIMENT D'UN DOCTEUR de SorbonneL’auteur de cette annexe est sans doute Nicolas Perrault (1624-1661), un des frères de Charles, reçu docteur de la Sorbonne en théologie le 26 septembre 1653. Il se forme sous la direction de Jacques de Sainte-Beuve aux idées augustiniennes. Dans les Mémoires de ma vie, Charles parle de Nicolas en le qualifiant « Mon frère le docteur » Ch. Perrault, Mémoires de ma vie, Œuvres choisies, Paris, Brissot-Thivars et C°, 1826, xv. Après la publication des deux lettres d’Antoine Arnauld (1655), la Faculté de théologie de la Sorbonne prononce une motion de censure ; parmi d’autres, Nicolas Perrault prend sa défense de façon remarquée dans les débats sur la grâce ; il est exclu de son rang de docteur de la Sorbonne en 1656 à cause de ses positions en faveur d’Antoine Arnauld. Charles Perrault soutient la position de son frère, qui continue à renforcer alors ses liens avec Port-Royal. Sans doute faut-il comprendre la conjonction de l’anonymat et de la mention de Professeur de la Sorbonne dans ce contexte : officiellement, Nicolas Perrault a perdu son titre de docteur, mais Charles considère cette exclusion illégitime. En effet, dans un ouvrage publié à titre posthume en 1669 contre la casuistique jésuite, Nicolas est présenté de façon anonyme comme un docteur de la Sorbonne : La Morale des Jésuites, extraite fidèlement de leurs livres, imprimez avec la permission et l’approbation des Supérieurs de leur Compagnie. Par un docteur de Sorbonne. À Mons, chez la Veuve Waudret, 1669. Au soir de sa vie, Nicolas Perrault déclarait : [Dieu] « m’a fait par sa grâce docteur de Sorbonne, et je me regarde en cette qualité comme une sentinelle posée pour empêcher qu’il ne [se] passe rien contre la vérité. Je n’ai que cela à faire, et je ferai beaucoup si je m’acquitte bien de cette commission. Dieu pourvoira à tout le reste. » Mémoires, ibid., xv. J. Lesaulnier, Nicolas Perrault, Théologien de Port Royal, Dix-septième siècle, 2014/3, 264, p. 417-427. [SC] sur la doctrine des principes de connaissance de DescartesLes « principes de la connaissance humaine » (De principiis cognitionies humanae) constituent la première partie des Principes de la philosophie parus en 1644, et traduit par l’abbé Picot en 1647. Descartes y établit qu’il y a deux principes (l’âme et Dieu) connus par évidence qui suffisent à fonder toutes les autres connaissances. Pour y parvenir, Descartes met en œuvre la méthode du doute, puis de l’évidence et de la déduction. Descartes avait déjà élaboré les prémisses de sa méthode dans le Discours de la méthode (1637) et dans les Méditations métaphysiques (1641). Mais il y procédait de façon analytique. Dans les Principes de la philosophie, Descartes suit l’ordre de la synthèse. [SC]
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